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YAT & Print media par Yves de TERNAY : un blog a voir pour R.I.P.er en paix!
Publié par printorweb dans Adobe, art graphique, Atelier Finition, Atelier Prépresse, Atelier Presse, Blogs, certification, Fichiers, Flux, Graphiste, imprimerie, jdf, Logiciel, Offset, Photoshop, prepresse, presse offset, RIP, workflow le 1 juin 2010
Parmi les heures que nous passons à naviguer sur le Net, il arrive mais trop rarement, de tomber sur des sites très riches qui deviendront nos références. Partageons donc ce plaisir.
Pour tout ceux qui s’intéressent au monde du print, Yves de TERNAY nous propose un blog passionnant avec des articles pointus. Je retiens particulièrement :
Quelles sont les stratégies aujourd’hui possibles pour un imprimeur ?
et pour ceux qui ne confondent pas le TIFF-IT avec les « tiges filetées », j’ai nommé les Spécialistes pré-presse et flux :
Moderniser, automatiser votre flux éditorial, prépresse ou print
et
Pourquoi mes couleurs imprimées ne sont-elles pas fidèles à
l’épreuve ?
Un CTP : OUI. Thermique ou violet ? Avec ou sans chimie ?
Publié par printorweb dans Actualite, AGFA, art graphique, Caractere, certification, Computer to plate, CTP, Eco-responsable, environnement, FICG, Fichiers, Flux, FUJI, Google, Graphiste, Heidelberg, Heidelberg france, imprimerie, ImprimVert, investissement, jdf, KODAK, Linotype, LUCHER, Offset, PDF, Plaque Offset, prepresse, presse offset, Pressprint, RIP, rotatives, SCITEX, Screen, SICOGIF, SNE, SPICG, SPICGR, telemaintenance, Thermique, UNIC, Violet, Web/Tech, workflow, Xerox le 11 janvier 2010
Copie de l’article Knol Google
En 2010 l’imprimeur ne demande plus s’il faut investir dans un CTP mais lequel choisir ?
Quelques mois maintenant que j’ai quitté Heidelberg l’un des plus importants fabricants mondial de CTP ou Computer To Plate ou encore insoleuse de plaques Offset. (Voir Pourquoi un blog imprimerie ?)
En attente d’un rendez vous à la C.C.I. je ne peux m’empêcher de me saisir du magazine « Caractère » N°659 qui est sur la table. J’apprends que l’avènement des plaques violettes sans chimie est pour 2010. Les imprimeurs apprécient. Enfin !
Je me revois encore au salon Anglais IPEX en 2006 avec les premières documentations officielles d’AGFA et FUJI explorant alors la technologie du violet Process less dit sans chimie. Depuis cette date beaucoup de conversations et quelques ventes de CTP & plaques mais des installations différées dans les imprimeries.
Tentons, ensemble d’y voir plus clair en ce début 2010.
Table des matières
- 1 – Technologie à laser Violet
- 1-1 Les plaques sensibles au laser violet
- 1-2 Les CTP à laser violet
- 2 – Technologie à laser thermique
- 2-1 Les plaques sensibles au laser thermique
- 2-2 Les CTP à laser thermique
- Conclusion
Avant de rentrer dans le vif du débat, rappelons quelques fondamentaux :
L’impression offset donne naissance à tout type de documents, catalogues et autres emballages de la vie quotidienne.
Le Computer To Plate ou CTP est une sorte d’imprimante qui ne dépose pas de fines
gouttes d’encre sur du papier mais qui creuse de petites aspérités dans une plaque. A charge de la presse offset de déposer une goutte d’encre dans cette aspérité puis sur le papier. Le CTP est donc une imprim
ante de plaques offset d’au moins 500 Kg et de plus de 100 000€ qui utilise aujourd’hui deux types de rayon laser pour insoler ou graver la plaque :
– Laser Violet, lumière visible, longueur d’onde de 405 à 410 nanomètre
– Laser Thermique, infra-rouge, longueur d’onde standard du marché 830 nanomètre, produisant de la chaleur.
A chaque laser correspond un mode d’insolation.
En thermique la plaque (en rouge sur les schémas) est fixée sur un cylindre en rotation on parle de tambour externe.
En violet la plaque est posée dans un demi-cylindre appelé alors tambour interne.
Bien que certains constructeurs aient tenté d’inverser cette logique à deux ou trois reprises, le parc installé confirme que chaque type de laser a sa place pour que les plaques soient bien gravées.
J’exclus volontairement de ce Knol les CTP dis à « cabestan ».
Ces ancêtres ne peuvent aujourd’hui assurer le repérage attendu sur une presse moderne. Techniquement, la position plaque / laser génère des problématiques de stabilité d’insolation. La longueur du faisceau laser est différente entre les bords et le centre de la plaque.
Restez très prudent dans ce domaine, ces dinosaures violet sont encore à la vente !
Ayant recadré le sujet, passons au détail :
1 – Technologie à laser Violet
1-1 Les plaques sensibles au laser violet
Depuis fin 2002, le marché propose des plaques dites « photopolymères » supprimant l’argent et facilitant grandement leur traitement post-insolation.
La qualité d’impression est au rendez-vous avec une résolution de 2 à 98% presque équivalente au thermique une fois le CTP bien linéarisé.
L’évolution de ce produit doit naturellement aller vers la suppression de cette contraignante et polluante chimie. Le salon DRUPA2004 laissait déjà planer des bruits de violet sans chimie. En 2006, le lancement très timide se faisait sur le salon IPEX à Birmingham. Depuis quelques ventes de violet sans chimie se sont concrétisées mais moins d’installations. J’ai en mémoire un groupe de 3 imprimeurs investissant dans cette solution mi-2007 qui fin 2009 utilisaient encore de la chimie. Signalons néanmoins que de rares utilisateurs labellisés BÊTA TEST sont en production, visitez-les. (Renseignez-vous auprès de vos fournisseurs.)
Il faut dire que la production industrielle de ce « nouveau » produit n’est pas évidente pour les fabricants de plaques. Si elle n’impose pas l’investissement de nouvelles usines, elle contraint à une souplesse onéreuse des chaînes de fabrication. Rappelons qu’AGFA, Fuji et KODAK ont déjà largement investi dans le thermique sans chimie et que chacun a déjà fidélisé une part de clientèle avec des modèles de plaques aujourd’hui éprouvés. De plus, les stratégies marketing proposant 2 produits pour le même service deviennent moins évidentes d’où un message « Client » pour le moins confus. Ces facteurs expliqueraient-ils le retard à l’allumage du violet sans chimie depuis cinq ans?
Parmi les gros faiseurs, KODAK a depuis longtemps fait le choix du thermique pour l’imprimerie feuille à feuille mais la division plaque continue sa production « violette « sans pour autant montrer le moindre signe d’intérêt pour le violet sans chimie.
1-2 Les CTP à laser violet
Nous l’avons vu, utilisent un tambour interne pour recevoir la plaque. Elle doit être installée automatiquement à son emplacement de gravure, idéalement maintenue en place par aspiration. Une ou plusieurs diodes émettent un rayon laser de 405/410 nanomètres distribué par un miroir rotatif à très haute vitesse. Si les diodes issues de l’industrie du dvd ont l’avantage d’un faible coût, ce miroir appelé spinner représente au moins 40% de la valeur du CTP ! Cet élément bien qu’éprouvé reste le talon d’Achille du CTP violet.
Autre facteur crucial, la puissance qui déterminera le type de plaque utilisable et la productivité.
A 5 milliwatt, seules les plaques argentiques sont compatibles. Sales mais rapides.
A 30 milliwatt, vous pouvez compter sur les plaques photopolymères chimiquement acceptables,
Enfin, à 60 milliwatt tout est possible même, sur le papier, les plaques violettes sans chimie.
Les 405/410 nanomètres produits par la source lumineuse sont présents dans la lumière naturelle et artificielle. Les plaques seront voilées si elles ne sont pas manipulées en environnement jaune inactinique, ce qui outre les frais ne représente pas un réel avantage à l’utilisation.
Les CTP violets ont une bonne image de fiabilité peut-être liée à une technologie éprouvée. Le sujet SAV doit faire partie de la réflexion même si certain prétendent le contraire.
87% des CTP violet du marché sont fabriqués chez Screen (vendu AGFA), Heidelberg et Fuji le spécialiste.
Si pendant longtemps l’avantage du violet fut son prix d’investissement, la bataille du thermique sans chimie depuis 2004 a réglé la question. On trouve facilement le thermique au prix du violet à condition de bien faire ses comptes.
2 – Technologie à laser thermique
2-1 Les plaques sensibles au laser thermique
2-2 Les CTP à laser thermique
évolution dans la profession. Leur laser constitué d’un assemblage de diodes produit de la chaleur avec une longueur d’onde non visible de 830 nanomètres. Ces diodes restaient la faiblesse de cette technologie imposant un contrat de maintenance musclé.
– SCITEX/CREO puis KODAK avec ses séries Magnus, Lotem et plus ancienne de Trendsetter.
Conclusion
Un CTP ? La réponse est dans le titre.
Choix du CTP
Forcement, il sera induit par le choix de la plaque.
La valeur du CTP ne représente pas plus de 7 000 à 15 000 m² de plaques. Autant dire qu’elle réside dans le service rendu et c’est quand il s’arrête que l’on s’en rend compte. C’est alors que l’enjeu du service technique et de la télémaintenance apparait. Si le technicien doit prendre l’avion pour vous dépanner, passez votre chemin. (C’est du vécu.) Bien que l’acheteur finance au payement la garantie (6 mois à 5 ans), elle reste rentable face à aux heures d’arrêt de production.
L’intégration d’outils de perforation plaque est indispensable. Outre le fait d’automatiser cette étape, le couple insolation et perforation vous garantie une mise en route économique avec une gâche papier minimisé lors de la mise en repérage.
La tendance aux tirages toujours plus courts et des délais serrés obligent à une réactivité accrue. La vitesse de production ne doit pas être sous-estimée. Pour maintenir une moyenne de 4 calages par heure soit 16 plaques, autant prévoir une machine de minimum vingt plutôt trente plaques par heure. Trop d’imprimeur ont remplacé un CTP pour suivre la cadence des presses. En matière de vitesse, jouer petit bras se paye après 14 mois et pendant 3 ans.
Si le violet trouve sa place en moyen format et en presse rotative, seul le CTP thermique peut satisfaire tous les besoins de l’ensemble des imprimeurs. Les CTP violet n’ont évolué qu’en vitesse ces 12 dernières années et les constructeurs se contentent de perfectionner des châssis existants.
La course au sans chimie les a incité à repenser leurs modèles proposant souvent 2 à 3 générations d’insoleuses thermiques dans la même période. Cette activité profite aux utilisateurs avec par exemple :
– l’amélioration de la fiabilité,
– la baisse de consommation électrique,
– l’utilisation d’internet pour les interventions distantes,
– les aspirateurs de débris pour plaques à tendance ablative,
Tous ces atouts augmentent remarquablement à la rentabilité du CTP.
Plaque Thermique ou Violette ?
Quel tirage moyen ? Quelles encres ? Quel papier ? Combien de plaques par jour ? Cohérence avec sa logique écologique ? Combien de mètres carrés par an ? Faut-il adapter un local et de quelle surface ?
Autant de questions qui doivent vous permettre une sélection technique de deux plaques : une thermique et une violette.Ensuite procédez à une élimination par ces critères :
Le prix de revient en fin de vie, chimie retraité et aluminium revendu. Vous trouverez ici un tableau comparatif qui met en évidence l’intérêt d’un calcul en fin de vie. Un euro d’écart à l’achat peut être repris sur les frais d’utilisation.
Enfin la stabilité des approvisionnements. Evitez les constructeurs exotiques ou peu présent dans votre région. Est-ce qu’un confrère accessible peut représenter une solution de secours ?
La logique de stock en flux tendu amène à des situations jusqu’alors impensables. J’en veux pour preuve la mésaventure de Xerox avec sa récente rupture d’approvisionnement sur le toner des presses Xerox 700.
Avec ou sans chimie ?
L’augmentation du prix peut-être justifiée jusqu’à 7000m² voire 10 000m². La simplicité d’utilisation procure une réelle rentabilité car les opérateurs et les presses se concentrent sur leur travail.
Au-delà de ces consommations, des solutions sont déjà présentes pour préserver l’environnement et maintenir la rentabilité de l’atelier. Poussés par la logique du pollueur payeur, les constructeurs trouvent avec le sans chimie une solution pour améliorer leurs marge sur les plaques (90% du budget plaques/chimie) en se passant de la chimie (10% du budget plaques/chimie). De plus les opérateurs prépresse s’occupent enfin et uniquement de ce qu’ils aiment : les fichiers.
N’oublions pas qu’un CTP est une imprimante pilotée par un logiciel. En imprimerie on l’apelle le plus souvent R.I.P. (Rate Image Processor) ou Flux de Production. Mais ce sujet étant tout aussi vaste, il mérite un article a part entière. Rappelons qu’un flux « Pierre » peut piloter CTP « Paul » qui grave des plaques « Jacques ».
Enfin, R.I.P, C.T.P. et plaques forment un ensemble qui ne saura être rentable sans un opérateur dûment formé à ses outils.J’ai souhaité donner dans ce Knol une image de la situation fin 2009. Évidemment elle évoluera avec le temps, je vous remercie de contribuer par vos remarques et témoignages à l’actualisation de l’article.
Les fournisseurs cités ne sont pas les seuls acteurs du marché mais représentent 87% des installations.
EmmanuelCiza.com
Sur le même sujet :
CARACTERE – Février 2008 – N°639 Les systèmes CTP Violet
CARACTERE , le 29/06/2004 Un marché dominé par le thermique
CARACTERE 01 Octobre 2008 « La Presse de la Manche » adopte le CTP sans chimie
CARACTERE – Janvier 2004 – N° 594 Les plaques d’impression Offset
CARACTERE , le 01/03/2005 Vers du violet process less
Syndicats :
La FICG et le SICOGIF fusionnent
UNIC – Union Nationale de l’Imprimerie et de la Communication
ORGANISATIONS PROFESSIONNELLES & TECHNIQUES DE L’IMPRIMERIE
Syndicat Professionnel de l’Imprimerie et de la Communication Graphique
Syndicat Patronal de l’imprimerie et de la Communication Graphique en Rhône-Alpes
Syndicat National de l’Édition
Syndicat National des Fournisseurs d’Équipements pour les industries Papetières et Graphiques
L’élimination des déchets :
GROUPEMENT DES MÉTIERS DE L’IMPRIMERIE
Le traitement des déchets dans l’imprimerie
Le Ebook ne serait pas écologique et aussi cher que le livre
Publié par printorweb dans art graphique, certification, Computer to plate, CTP, Ebook, Eco-responsable, Edition, environnement, FSC, Graphiste, imprimerie, ImprimVert, Kindle, livre electronique, Livres, Logiciel, papier, PCinpact.com, PEFC, prepresse, presse offset, Reader de Sony, rotatives, Syndicat National de l'Edition, Web/Tech, Web2.0, Weblogs, workflow le 14 décembre 2009
Le livre électronique coûte autant et pollue plus
que le papier ?
Une nouvelle qui fera sans doute sourire les
professionnels des Arts Graphiques et particulièrement le monde de l’édition. Les
imprimeurs ont considérablement investi ces dernières années dans le respect de l’environnement. Depuis 1998 et la création de marque comme
ImprimVert, on comptera bientôt plus d’imprimeurs
certifiés « Ecolo » que ceux ayant tournés de dos à une démarche estampillée
verte. Bien qu’une des plus connue, cette certification n’est pas la seule :
certification PEFC, certification FSC, Investissements
écologiques ou encres végétales, permettent à chacun d’afficher sa propre
logique du respect de l’environnement.
Un pavé dans la mare lancé par PCinpact.com au moment
de la sortie du Kindle d’Amazone ou encore le Reader de Sony . Le monde du Print qui ne trouverait pas de nouvelle opportunité
avec le Ebook, voit ses investissements Eco-responsables récompensés.
Malgré tout, fort est à parier que la logique du Syndicat
National de l’Édition sera rapidement remise en question par l’évolution du
modèle économique du livre numérique.
PCimpact : livre-electronique-coute-autant-papier.
« Le livre électronique coûte autant et pollue plus que le
papier
Lire, ça rend intelligent (paraît-il)
Le
livre électronique, ou ebook, est
un sujet qui fait couler beaucoup d’encre. Si pour certains, il représente le
futur, et en manquer la marche sera inévitablement fatal, pour d’autres, il ne
s’agit que d’un gadget sans grand intérêt et bien trop onéreux.
Hervé Gaymard, présentait ainsi
début mars son rapport sur la Situation du livre, remis à Christine Albanel. Ce
fameux rapport notait justement que si le prix unique du livre papier (avec une
TVA à 5,5 %) a un sens, sa version numérique devrait néanmoins être prise comme
un cas à part.
Pour le député UMP, passer « par une offre d’ouvrages accrue et
diversifiée ainsi que par une réduction significative du prix par rapport à celui
du livre papier : 30 % du prix TTC », ne serait pas une
mauvaise idée, ceci grâce, notamment, à une baisse de la TVA (de 19,6 %
sur le numérique actuellement, contre 5,5 % sur le support physique). Mais
les éditeurs pourront de toute façon avoir le choix de la tarification de leurs
oeuvres.
Mais le SNE, le Syndicat National de l’Édition, tient cependant à rétablir
certaines vérités, ou tout du moins les siennes. Rappelant que le marché du
livre numérique ne représente que 30 à 40 millions d’euros, soit 1 % du chiffre
d’affaires de l’édition, principalement au format CD/DVD qui plus est (et non
pas en téléchargement), le SNE affirme que « contrairement aux apparences,
un livre numérique coûte au moins autant à produire qu’un livre papier ».
Une déclaration étonnante, que le SNE tente néanmoins d’expliquer :
Prenons un livre-papier vendu au prix de 10 € (qui est
à peu près le prix moyen d’un livre). Comment se rémunèrent aujourd’hui les
différents acteurs de la chaîne du livre ? L’auteur touche 1 €. L’éditeur
perçoit 1,50 € pour son travail (création éditoriale, relecture,
correction, mise en forme, maquettage, marketing, promotion commerciale,
service de presse, vente de droits étrangers et de droits audiovisuels et frais
de structure). L’imprimeur reçoit 1,50 € pour le travail de pré-presse
(qui peut aussi être réalisé par le service de fabrication de l’éditeur),
l’achat du papier et l’impression. Le diffuseur et le distributeur perçoivent
1,70 €. Le libraire perçoit 3,80 € qui couvrent en particulier une
partie des frais de transport du livre ainsi que les charges de personnel et le
loyer. Enfin, l’État récolte 0,50 € (TVA). Ce sont, à part la TVA, des
chiffres moyens, qui peuvent varier.(Lire la suite…)
Wikipedia :
« synonymes : livrel, ecolivrel, liseuse, bouquineur ou tout
simplement e-book, la terminologie Française n’étant pas encore fixée. « Voir aussi l’essaie du Kindle, le livre électronique
d’Amazon sur le 20
Minutes.fr